Quelques textes...

je parlais a shinta XD



*ta que 13 ans ? kenshi jsuis plus le plus jeune XD*

Matsu a écrit:

je parlais a shinta XD



*ta que 13 ans ? kenshi jsuis plus le plus jeune XD*

notre bébé matsu a bien grandi depuis ses premiers sur le forum, tu es presque un homme maintenant ^_^

13 ans!!!!? *s'evanouie*
C'est bien ca, certains sont plus vieux et paraissent être plus jeune au vu de leur mentalié ahah. Mais toi tu fais plus mature ^^

Koto a écrit:

13 ans!!!!? *s'evanouie*
C'est bien ca, certains sont plus vieux et paraissent être plus jeune au vu de leur mentalié ahah. Mais toi tu fais plus mature ^^

Tu parles de qui là?XDDDDDDD!
Non Matsu je n'ai pas de groupe, je fais tt, tt seul, lol ms dès que j'ai fini je fais écouter à Yaû, le pote bassiste et Frodon (qui a interet à se remettre au violon), si ça leur plait après j'en parlerais avec eux pr savoir s'ils veulent participer ou non!^^Je compte pas nourrir les gros d'Universal, c'est juste un opus pr le plaisir que j'offrirai à qui le voudra bien^^

sa étonne toujours les gens quand je dis mon âge je vois pas pourquoi? 0.0"

Shinta > a ton avi a qui je parle XD Si tu relis les messages de tout le monde tu trouvera.... (sens le power d'inspecteur derrick qui va t'aider a resoudre l'enigme)

Koto a écrit:

Shinta > a ton avi a qui je parle XD Si tu relis les messages de tout le monde tu trouvera.... (sens le power d'inspecteur derrick qui va t'aider a resoudre l'enigme)

Ms celà ne me regarde pas XDD!je lol je lol!

ouiiii j'ai bien grandi soso ^^

Remorse Man

Je viendrais te chercher
Dans ces ronces
Si sombre sont –elles.

Je te chercherais
Prête à me détruire
Moi-même.

Ces épines s'enfonceront
Dans mon corps
Je te protègerais en te serrant dans mes bras.

Je te sauverais de ces lianes
Chaque goutte de mon sang
Est versé pour toi.

Je ne veux plus
Que tu te blesses
Que tu sombres encore une fois.

Tu ne verseras plus aucune goutte de ton sang
Je le ferais pour ce « toi »
Ce rouge coulera de mon corps.

Souris enfin,
Je t'en supplie ne sombre plus
Moi je représenterais tes larmes passées.

Ces épines s'enfoncent dans ce « moi »
A ne voir que ce rouge sur mes membres
A mon tour d'être dans ces ronces interminables.

Super tout ces textes !!! je suis bien dans l'amibiance , alors voici ma ronde :


(moi aussi j'ai du mal avec les titres, c'est une obligation et ça me fait chi....)


Un pétale de fleur qui bat dans un corps de frêle légèreté
C’est une honnête humilité

Des yeux absorbés par les visions cathodiques d’écrans gris
Ce n’est que tromperie

Regarde l’horreur vivante et n’en détourne pas les yeux
Touche-la et imprègne l’odeur de son sourire hideux

Ainsi se retournant pour te surprendre sans décence
Tu l’accueilleras comme une vieille connaissance

Il n’est rien de constant si ce n’est le changement

Faut utiliser le titre comme la touche finale de ton message. Fait comme Kyo, met un titre qui a en apparence rien a voir.

Et bien le jour où je prendrais mes poésies au sérieux , je me pencherais sur le problème avant de me jeter par la fenêtre !!

Voici un autre texte d'un grand monsieur de la poésie et de la musique



Nous nous sommes rassemblés dans ce théâtre antique et fou
Pour propager notre rage de vivre
Et fuir la sagesse grouillante des rues

Les portes ouvertes sont enfoncées
Les fenêtres gardées
Et seule de tout le reste
Pour danser et nous sauver
Avec le divin simulacre des mots
La musique enflamme le tempérament

Quand on permet aux meurtriers du seul roi
De rôder en liberté
Un millier de magiciens surgissent
Dans le pays

Où sont les festins
Qui nous ont été promis ?
Où est le vin
Le vin nouveau ?
Il meurt sur la vigne

Simulacre résident
Donne-nous une heure pour la magie
Nous du gant pourpre
Nous du vol d’étourneau
Et de l’heure de velours
Nous de la race du plaisir orientale
Nous du dôme solaire et de la nuit

Nous sommes juchés la tête en bas
Au bord de l’ennui
Nous cherchons à atteindre la mort
Au bout d’une bougie
Nous essayons de trouver quelque chose
Qui nous à déjà trouvés

James Douglas Morrison

Un poème s’écrit souvent avec une histoire. Celui ci est dédié à Gé, un pote.

Pourquoi j’aime Gé ? Il se radine un jour chez moi et je le vois arriver avec une sale tronche. J’ai de suite compris, et la réponse hurlait dans ma tête mais je ne voulais pas l’entendre, trop dure… Alors je lui lâche un très con : "Ca va" ??
Il entre on était plusieurs potes. Et la réponse hurlait toujours dans ma tête et je ne voulais toujours pas l’entendre non non non . Et puis la lâche "J’ai le Sida" j’explose en larmes silence....je sens un bras autours de mon cou. C’est Gé, il me dit "je suis désolé, je ne voulais pas te faire pleurer excuse moi ". Putain, c’est lui qui était désolé….. je l’ai regardé avec des yeux énormes il s’en est passé des choses dans ce regard…
Donc poème pour Gé (Aladin étant son nom de famille et oui…..)

Rien à voir avec Juda,
Aladin n’était pas très saint
Aladin n’était pas un ange
En fait, il n’était pas très catholique
Mais il valait mieux que tout les Dieux
Car il n’était pas un héros
Mais un simple mortel
C’est bien là qu’est ma peine

Je connais un p’tit resto pas cher
Six pieds sous terre
Où les danseuses se tortillent
Et l’invité fait bonne chaire
Rien à voir avec Juda
Aladin n’était pas très saint

Pour certain c’était le diable
Pour d’autre c’était un père
On dit qu’un jour Dieu l’a appelé
Voilà ce que c’est de l’avoir écouté…
Je connais un p’tit resto pas cher………..

Voilà, cela fait 27 ans que Gé est partis, laissant Clyde son fils d’un an. On l’a emporté d’un coup de fusil à pompe, de ceux qui l’ont vu on dit qu’il ne demandait que ça. C’était son choix.



Salut Copain !

je suis fatiguée de la lumière du jour.
Morphéus enlève moi.
j'ai tant d'amour, seul la nuit peut le contenir sans blémir.



J’ai feint

J’ai faim,

J’ai fin et tout recommence

Aller , je pouet un coup et je vais bosser


Des vers pour mon amant

Dans le jardin des délices
aux détours des sentiers de l’extase,
il n’est point de plus subtil parfum
que celui de la douce torture
qui, telle la lune croissante
monte imperceptiblement.

C’est à sa lueur, que je m’offre
en totale soumission
nuit après nuit,
aux caprices de mon amant
m’infligeant la vison
de ses humiliations publiques.

Tout en m’ignorant, il observe
les tressaillements de ma peau
dans l’humidité de la brume.
L’écho d’un souffle dans l’ombre
dévoile les yeux d’une foule perverse.

L’extase arrive, l’air me manque….
..........................................
Ressert encore un peu les lacets,
s’te plait.